La visite officielle du nouveau secrétaire d'État américain, Marco Rubio, pourrait être définie principalement par une question qui semble sans fin et sur laquelle la République dominicaine a maintenu une position ferme et distante : la crise haïtienne.
L'information a été confirmée lundi par le président Luis Abinader lors de la conférence de presse LA Semanal au Palais National : « Cela durerait dans la nuit du (mercredi) 5 jusqu'au (jeudi) 6 », a-t-il annoncé.
Le chef de l'État, Luis Abinader, a assuré qu'il aura « tout le temps » pour discuter avec Rubio de la crise politique et humanitaire que traverse Haïti, produit des bandes criminelles qui intensifient jour après jour la spirale de violence dans les banlieues Haïtiens.
On pourrait également s'attendre à ce que leur ordre du jour comprenne d'autres questions d'un grand intérêt pour les deux pays et la région, telles que la crise migratoire, les accords économiques et le renforcement des relations bilatérales.
«Ils ont échangé des opinions sur la crise complexe haïtienne», a noté le ministère dominicain des Affaires étrangères sur le réseau social X, anciennement Twitter. "Ils ont parlé de l'intérêt des deux pays à continuer de renforcer les relations bilatérales et de travailler sur un programme commun générant une plus grande prospérité pour le pays et la région."
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