Crise politique en Haïti, l'accord du 21 décembre, EDE et le collectif du 30 janvier défendront à la Caricom la nécessité d'écarter du CPT les trois inculpés de l'affaire du BNC avant le référendum et les élections

Manifestation pour le départ du président haïtien Michel Martelly à Port-au-Prince, le 16 décembre 2014.

L'accord du 21 décembre, EDE et le collectif du 30 janvier, dans les prochains jours défendront la nécessité d'écarter les  trois conseillers présidentiels inculpés dans l'affaire de corruption de la BNC avant toutes organisations du référendum constitutionnel et les élections.

Nous informons l’opinion publique que la reprise des négociations politiques entre les parties prenantes haïtiennes sous les auspices de la CARICOM aura lieu dans les prochains jours, écrit Me André Michel sur la plateforme X. 

"L’accord du 21 Décembre défendra avec EDE et le Collectif du 30 janvier le bien-fondé de nos propositions conjointes. Nous espérons aboutir à des compromis responsables avec les autres parties prenantes pour un redressement ordonné du CPT et de la Transition."


«Le Conseil Présidentiel de Transition (CPT) actuel,discrédité et délégitimé par le Scandale de la BNC,ne pourra pas organiser le référendum constitutionnel et les élections à la fin de l’année ! Notre position est claire: Il n’y a pas de place à la table des négociations pour les criminels ! Pas de dialogue avec les GANGS! Pas de négociation avec les GANGS !», a écrit le leader du secteur démocratique et populaire (SDP), Me André Michel.


Radio Télé Vitamine 

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