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« Eux là-bas, nous ici », « Nous ne voulons pas d'Haïtiens ici, qu'ils aillent en Haïti », « La patrie ou la mort », sont quelques-unes des phrases que les personnes présentes crient d'une seule voix des Dominicains contre les ressortissants Haïtiens. |
Avec des banderoles, des clairons et des drapeaux à la main, des dizaines de manifestants de l'Ancien Ordre Dominicain sont apparus sur la Plaza de la Bandera en République Dominicaine pour protester contre l'immigration illégale haïtienne et « l'imposition de la communauté internationale » pour que le pays accepte les Haïtiens.
« Eux là-bas, nous ici », « Nous ne voulons pas d'Haïtiens ici, qu'ils aillent en Haïti », « La patrie ou la mort », sont quelques-unes des phrases que les personnes présentes crient d'une seule voix.
Le président de l'Ancien Ordre Dominicain, Angelo Vásquez, a déclaré que le but de cette manifestation est de défendre le territoire dominicain de la migration illégale haïtienne et d'appeler la société à lutter pour la souveraineté nationale.
Vásquez a déclaré que la manifestation a également été organisée à la suite des déclarations du sénateur américain Marcos Rubio, qui a déclaré que le président Joe Biden cherchait à faire pression sur le pays pour qu'il accepte 3 millions d'Haïtiens.
« Nous sommes contre l'imposition du Parti Démocrate par le leader de Joe Biden, président des États-Unis, qui entend nous forcer à accepter trois millions d'Haïtiens dans le pays », a-t-il exprimé.
Le représentant des « nationalistes » a souligné que même s'il a été dit que les États-Unis respectent la souveraineté dominicaine, on a pu voir à plusieurs reprises comment des organisations accusent le pays d'abuser des droits de l'homme à propos de la question haïtienne.
De même, il a soutenu que l'organisation n'a pas de drapeau politique et que « nous sommes ici seulement en tant qu'enfants de Duarte » ; Ils cherchent donc à amener le peuple à se joindre à la cause de la défense de la République Dominicaine.
Entre-temps, Vásquez a déclaré qu'à partir de maintenant, ils organiseraient d'autres manifestations dans la province de Samaná, car « il y a une grande situation d'invasion haïtienne » dans la province.
Radio Télé Vitamine
