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Des responsables diplomatiques dominicains avaient secrètement négocié l'entrée sur le territoire dominicain depuis les États-Unis du Premier ministre haïtien Ariel Henry, avant de s'envoler pour Port-au-Prince, un plan qui, selon le journal El Nuevo Herald cité par un journal dominicain Listin diario, a été communiqué aux responsables américains et des Nations Unies. .
C'est ce qu'établit le journal américain, qui assure que pour reconstituer le débarquement d'Henry à Porto Rico, ils se sont entretenus avec des sources qui ont une « connaissance directe » des événements. Parmi ceux qui citent le gouvernement des États-Unis, Haïti et la région.
"Le ministère dominicain des Affaires étrangères n'a pas répondu à une demande de commentaires du Herald", indique le journal dans la publication.
Selon l’histoire « secrète », Henry est arrivé aux États-Unis où il a négocié avec les autorités dominicaines. Ils précisent qu'au début «les responsables dominicains ont parlé de faire en sorte qu'Henry se rende à Saint-Domingue avant de traverser la frontière en hélicoptère».
Selon le Miami Herald, ce plan a été communiqué aux responsables américains et des Nations Unies « et dans lequel un hélicoptère à vision nocturne serait peut-être utilisé pour la mission ».
Ils expliquent que tous ceux qui ont participé à ce projet savaient que l'avion charter d'Henry, « un Gulfstream de 13 places, ne pouvait pas atterrir directement à Port-au-Prince », en raison du contrôle qu'exerçaient les gangs à l'aéroport.