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Le gouvernement d'Ariel Henry est marqué par l'accroissement démographique l'insécurité, des groupes de gangs qui font la loi et qui se renforcent de jours. Des partis politiques lancent une série de mobilisation à travers le pays cette semaine dans le but de renverser Ariel Henry et son équipe a travers le pays.
Les routes nationales sont bloquées et contrôlées par les gangs, une grande partie de la population est forcée de quitter les pays, sous les yeux d'un gouvernement incapable et insouciant face aux différents problèmes que connaissent les citoyens.
La gouvernance d'Ariel Henry met de côté le principe de la continuité de l'État car, la majorité des écoles gardent leurs portes fermées à Martissant, Carrefour, croix-des-bourquets, Département de l'Artibonite et à Pernier , pour citer que ces zones. Sa gouvernance rend disfonctionnel l'université d'État d'Haïti, toutes les facultés sont en crises. Les centres hospitaliers sont attaqués par des gangs et pour fuir la menaces des groupes armés les professionnels du pays particulièrement les médecins et les professeurs sont obligés de quitter le pays involontairement.
Ariel Henry et son équipe n'ont rien fait pour arrêter la machine de l'insécurité. On dirait que l'équipe gouvernementale est un allié des gangs. Dès le commencement du mois de février, des cadavres étaient éparpillés dans diverses rue de la zone métropolitaine de Port-au-Prince. Ces personnes ont été tuées pour des raisons non élucidées.
Il y'a plus de 13 mois depuis que le gouvernement d'Ariel Henry a fait appel à la communauté internationale pour aider à résoudre la crise sécuritaire, Haïti semble ironisée car, elle n'a pas d'ami.
Face à cette situation un vent de révolution, ayant à sa tête l'ex sénateur élu, ancien prisonnier pour drogue aux États-Unis, Guy Philippe, souffle sur le pays. Des liders et partis politiques annoncent des mouvements de mobilisation du 5 au 7 février 2024 pour renverser le pouvoir d'Ariel Henry qui selon eux et des accords son mandat est arrivé à fin.
Pour se protéger et garder son pouvoir Ariel Henry augmente son effectif d'agent de sécurité avec plus de 90 soldats des forces armées d'Haïti et interdit aux agents de la Brigade de Surveillance des Aires Protégés (BSAP) de porter des armes en révoquant Jeantel Joseph le directeur de l'ANAP et chef de la BSAP.
À rappeler que la BSAP s'arrange au côté de Guy Phillipe et constituent une menace pour le gouvernement.
À quoi on peut s'attendre les jours à venir ?
Par: Nicolas Vital
radiotelevitaminertv@gmail.com